À Boston, dans son appartement en demi sous-sol où l’atmosphère sort tout droit d’un vieux film noir, le grand pianiste américain Ran Blake mène une vie solitaire et continue de façonner son jeu inclassable. Depuis plus de 70 ans, c’est son obsession pour le cinéma qui l’anime et qui nourrit sa musique dans un dialogue unique entre les deux arts.